mercredi 29 décembre 2010

New York, I love you.

Film à sketchs mais on ne le dirait pas, les séquences des onze réalisateurs sont habilement emmêlées, mais au fait: quel était le propos ? Tout s’évapore dès que le générique bien garni a fini de défiler. Nous pouvons aimer une ville pour la retrouver telle qu’on l’imaginait, et celle-ci le cinéma ne l’a pas manquée, donc accepter les clichés, mais cette fois pas d’humour ni d’ énergie, daté, et je ne vois pas l’utilité de s’y mettre à plusieurs pour remplir si mollement une morne heure et demie. Oui, des rencontres sont possibles quand on s’en vient fumer sur le trottoir devant le restaurant, mais pas de quoi être renversé.

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