lundi 4 avril 2011

Si tu meurs je te tue. Himer Saleem.

Oui la conquête de la liberté de Golshifte Farahani est sympathique. Et la belle m’a permis de supporter ce film présenté comme « la comédie la plus drôle, la plus vive, la plus intelligente que l'on ait vue depuis longtemps » où je n’ai rien vu de tout cela.
Le personnage principal, sympathique mais absent, accueille un autre paumé comme lui, qui se devait de supprimer un criminel de guerre, mais c’est l’exécuteur présumé qui finit poussière dans un bocal.
Un drame, une comédie, le mélange est toujours difficile, surtout quand des allusions symboliques viennent s’ajouter au portrait de la communauté kurde en milieu parisien traité en burlesque, avec de surcroit la douleur d’un père représentant la tradition vue avec légèreté…
Résolution au révolver mais il n’y pas de balle dans le canon, c’était pour de rire...
Les personnages sont inconsistants et il ne reste pas grand-chose après un titre qui pouvait intriguer mais retourne à l’absurde.

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