dimanche 30 septembre 2012

Tout est bien. Robert Charlebois.



A la première écoute du dernier CD du québécois qui nous fit passer de Félix Leclerc au rock, je n’avais pas été accroché.
Puis j’ai lu les paroles du fidèle  David Mc Neil :
« Les poètes ont souvent raison »,
 l’inusable Dabadie :
«  je chante donc je suis »,
 avec Mozart aux paroles :
«  Le garnement brûle encore plus
 Il ne se console plus
 Et ne souhaite rien d’autre
 Que posséder ton très joli cul »
Il y a  du Saint Augustin aussi dont quelques mots donnent le titre à l’album qui sonne comme une conclusion, avec aussi « Satisfaction » résumé d’une vie.
La musique est de Charlebois dont je préfère les percussions aux violons ; il agence aussi quelques paroles :
« Autour du monde, on refaisait l’amour
Elle l’a défait, sans espoir de retour
Son dernier tour m’a laissé un grand trou
Juste à côté du cœur »
Il regarde toujours les Jumbo jet, tricote avec  des « moi », voyage de Winipeg à Calgary, rappelle l’amour, croise un joli nez, toujours « drette dans ses bottes » surtout quand la country s’invite, ou quand il va s’asseoir devant l’ivoire d’un piano.

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