mercredi 10 juin 2015

Musée des confluences. Lyon.

Il parait qu’il est majestueux vu de l’autoroute, de l’intérieur il n’est pas des plus simples, mais bon, il y a des baies vitrées quand on prend l’escalier et les salles d’exposition sont dans l’obscurité comme il convient aujourd’hui.
Le côté didactique des muséums à l’ancienne a disparu au détriment de l’esthétisme, ainsi les insectes forment une nuée chamarrée et les oiseaux une accumulation où le colibri côtoie l’autruche. Par contre des médiatrices sont disponibles pour donner des précisions : un collier océanien aux allures de tuyau de pompiers est formé d’une multitude de plumes insoupçonnables.
Les fossiles sont magnifiques dans la salle consacrée aux origines, et les squelettes de dinosaures spectaculaires avec leurs ombres au plafond. 
Par ailleurs nous pouvons nous interroger sur la place de l’homme parmi la multitude des espèces, sur les échanges entre sociétés,  voire sur l’au-delà avec des masques forts.
Nous y reviendrons pour les expositions temporaires, il ne s’agissait pas de lasser notre toute petite fille qui avait déjà retenu la taille d’une molaire de mammouth lors d’une première visite alors qu’il y avait des croque-monsieur au saumon au menu enfant de la brasserie.

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